Quiz 1
1. Attirer l’attention est :
a) la première mission à remplir.
b) n’est plus d’actualité.
c) sans intérêt.
d) une partie du finale.
e) la dernière partie de l’ouverture.
2. Il est important de rapprocher les chiffres de quelque chose de tangible :
a) vrai.
b) faux.
c) question hors sujet.
3. L’ouverture du discours sur l’abolition de la peine de mort de Robert Badinter est formulée sous forme :
a) de question rhétorique.
b) de paradoxe.
c) d’énigme.
d) d’ordre.
e) de demande.
4. Un paradoxe est :
a) un parachutiste occitan.
b) un courant négationniste.
c) une affirmation qui va dans le sens de l’opinion générale.
d) un bon mot pour le Scrabble.
e) une affirmation contraire à l’opinion commune.
5. Le suspense est :
a) une forme de bretelles.
b) une méthode d’accrochage des jambons.
c) un procédé narratif.
d) une sucette à l’anis.
e) une menace météorologique.
6. Piquer la curiosité :
a) nécessite une machine à coudre.
b) est particulièrement douloureux.
c) est un délit.
d) donne envie de connaître la suite.
e) chatouille.
7. Une question rhétorique est une question :
a) avec un double point d’interrogation.
b) à laquelle l’orateur répond lui-même.
c) avec un gros lot à la clef.
d) qui vient après la question préhistorique.
8. Le discours « Paris libéré » du Général de Gaulle commence par :
a) une question rhétorique.
b) une accusation.
c) un paradoxe.
d) des insultes.
e) une plaisanterie.
9. Attirer l’attention permet :
a) d’inviter l’auditoire à l’écoute.
b) de conclure.
c) de flatter son ego.
d) de détourner les regards de ce qui est important.
e) de faire connaissance.
10. « J’ai des choses graves à vous dire » est une phrase qui :
a) laisse absolument indifférent.
b) donne envie de rire.
c) en dit largement assez.
d) pique la curiosité.
e) pose parfaitement le sujet.
Solutions
1 : a.
2 : a.
3 : e.
4 : e.
5 : c.
6 : d.
7 : b.
8 : a.
9 : a.
10 : d.
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